Critique de Fugue Polonaise sur lecture-ecriture.com

Pour qui s’intéresse (ou bien est curieux, voire nostalgique) de l’époque de l’après-guerre dans un des pays du bloc communiste, ce livre ‘Fugue Polonaise’ peut vraiment plaire.

Pour qui s’intéresse (ou bien est curieux, voire nostalgique) de l’époque de l’après-guerre dans un des pays du bloc communiste, ce livre peut vraiment plaire. C’est l’histoire de Bashia, une jeune fille de 16 ans, étudiante brillante en littérature et en Français auquel elle voue une véritable passion. On peut aisément comprendre pourquoi: sa maman a quitté la Pologne pour la France et Bashia n’en a aucune nouvelle.

Alors Bashia vit dans un grand appartement avec sa grand-mère, son père Karol et son oncle Roman ainsi que leur vieille servante restée attachée à la famille; une famille qui, avant le temps des Soviétiques, faisait partie de la bourgeoisie du pays. Ayant subi une migration à la suite de la refonte des frontière russo-soviétiques à la fin de la 2ème guerre mondiale, la famille Zborawska a été obligée de quitter leur grande maison pour la vie en HLM à Cracovie.

On est en 1953 (mort de Staline) et la Pologne vit sous administration communiste, le pays étant complètement sous le joug des russes. Pour l’exaltée jeune fille Bashia, pas facile de vivre dans un pays de privations, de délations et d’endoctrinement. D’autant plus que sa famille ne fait pas partie du Parti au pouvoir et est donc dans le collimateur de la police politique. Plusieurs raisons à cela: personne, sauf le père de Bashia qui est médecin, ne participe à la construction ou reconstruction de la Pologne; la famille Zborawska est issue de la bourgeoisie; l’oncle Roman refuse de travailler et critique le régime et enfin, la petite Bashia est plutôt révoltée dans son lycée et voue une admiration sans faille à la France.

A tel point qu’elle tombe amoureuse de Christian, un jeune garçon français, communiste idéologue qui vient découvrir le pays. Forcément, tous les 2 ne voient pas l’avenir de la même façon. Pour lui, le communisme c’est un idéal, l’espoir d’une société plus juste; pour elle, c’est un monde de sanctions et de délations où elle n’a aucun avenir et qu’il faut fuir absolument. Difficile histoire entre eux d’autant plus qu’elle découvre avec lui l’amour…et qu’il n’est pas partagé de la même façon.

Ce livre, facile à lire et riche historiquement, est remarquable. Il est bourré d’humour. La critique acerbe de la société communiste pose le décor historique et les événements sont soit tristes, soit truculents. Du vécu, assurément. Les personnages, hauts en couleur, ont chacun leur rôle: certains emboitent le pas au régime totalitaire et obtiennent des compensations et un relatif confort matériel, d’autres sont dans la contestation et subissent la suspicion et les représailles.

La fin qui se déroule en 2001 est vraiment très surprenante… mais n’en disons pas plus. A lire donc, je recommande… et spécialement pour celles et ceux qui connaissent un peu la Pologne!

Critique par Laugo2 du site lecture-ecriture.com

Récompensée par l’Académie française !

Académie françaiseL’Académie française a décernée à Beata de Robien au titre de ses Grands Prix de l’année 2013 le prix Hervé Deluen

Le prix Hervé Deluen est un des grand prix de l’Académie française, créé en 2007. Il est destiné à récompenser « toute personne ou toute institution qui contribue efficacement à la défense et à la promotion du français comme langue internationale ». Continuer la lecture de « Récompensée par l’Académie française ! »

Beata de Robien, lauréate du prix Culture et Bibliothèques Pour Tous (CBPT) 2014

Le Prix Culture et Bibliothèques Pour Tous (réseau associatif CBPT) 2014 a été attribué à Beata de Robien, qui publie Fugue polonaise.

Prix Culture et Bibliothèques Pour Tous

Le réseau associatif Culture et Bibliothèques Pour Tous (CBPT) regroupe les bibliothèques et médiathèques françaises (aujourd’hui plus de 1000) et décerne chaque année un prix littéraire ayant pour but de faire connaître un auteur francophone prometteur.

Prix décerné à Beata de Robien pour Fugue polonaise

Fugue Polonaise désignée livre du mois dans le revue Notes bibliographiques

Fugue Polonaise a été désignée
« livre du mois » dans le revue Notes bibliographiques – Juin 2013

Lien vers l’article      Lien vers Fugue polonaise livre du mois Juin 2013

Cracovie, 1953. L’heure est au durcissement sous la férule du président Bierut contrôlé par Moscou. Cette année marque également un tournant dans la vie de Bashia, lycéenne douée pour l’écriture, qui rédige, moyennant finances, les…

Interview sur RFI – Vous m’en direz des nouvelles !

Ce lundi 23 Avril 2013, j’ai été l’invitée de l’émission « Vous m’en direz des nouvelles ! » sur RFI (Radio France International).

La Pologne, un pays doublement traumatisé : par le nazisme, puis par le communisme. C’est ce second traumatisme que je raconte au cours de cette émission; mon roman Fugue polonaise est publié chez Albin Michel.

Pour ré-écouter l’émission : lien vers le site de RFI.

Critique élogieuse de Fugue Polonaise dans le Populaire du Centre

critique élogieuse Fugue polonaise dans le Populaire du Centre
Le journal Le Populaire du Centre a publié une critique extrêmement élogieuse sur mon roman Fugue polonaise.

Lien vers l’article

« Beata de Robien met en œuvre une écriture d’une rare fluidité, subtile, légère et profonde. Curieusement, ce monde cruel n’est pas triste. Beata de Robien entretient une distance avec ses personnages qui ne sombrent jamais dans le sentimentalisme. Car ici, la drôlerie accompagne l’impuissance, permet d’apprivoiser la peur, de surmonter les regrets, les chagrins. Le dernier paragraphe de son livre nous offre un rebondissement sidérant». /Le Populaire du Centre/

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Fugue Polonaise dans Valeurs Actuelles


Lien vers Fugue polonaise.

Bashia, l’héroïne adolescente de ce roman à la musique entraînante, dont l’action se passe en 1953, vit en Pologne. Sur ses pas, on découvre les exactions commises par un régime totalitaire. Le mode de fonctionnement …

S.L. de M.

Avec ironie et tendresse, avec réalisme aussi, Beata de Robien continue à décrire ce qui lui tient tant à cœur.