Article de La Libre Belgique – La malédiction de Svetlana

Svetlana Staline a très mal vécu les crimes et les mensonges de son père

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57fd021fcd70cd5761c91fd7Article de Christian Laporte, publié le

Autant vous mettre dans la confidence ! Le passionné d’Histoire qui signe ces lignes n’aime que très modérément les reconstitutions dialoguées et donc quelque peu romancées des grand(e)s de ce monde à l’instar de certains biopics. Voir couché sur papier dans un livre qui se voulait sérieux un colloque très singulier dans la chambre royale entre Baudouin et Fabiola le stupéfia jadis. Mais l’exercice vaut la peine lorsque l’auteur(e) pousse vraiment loin ses investigations. On l’a dit ici à propos de la biographie, sortie plus tôt dans l’année, de Dédée De Jongh due à Marie-Pierre d’Udekem; nous persistons et signons cette fois à propos de la vie de Svetlana Staline remise en perspective par Beata de Robien.

A l’évidence, l’écrivaine née en Pologne « dans un océan de mensonges » (officiels) et dont le grand-père survécut à 12 ans de goulag a été interpellée par le destin peu commun de la fille d’un des dictateurs les plus cruels de l’Histoire. Toute sa vie, Svetlana (photo) a porté cette culpabilité tout en s’efforçant d’assumer sa propre personnalité. La fille de Staline intéressa aussi Beata de Robien parce que, tout en connaissant une perpétuelle errance, elle ne cessa de puiser du courage dans ses malheurs et dans les trahisons successives dont elle fit l’objet pour tenter de se reconstruire. […] Continuer la lecture de « Article de La Libre Belgique – La malédiction de Svetlana »

Sud Ouest – La malédiction de Svetlana – Étonnant destin de la fille de Staline

Logo Article Journal Sud OuestLa Malédiction de Svetlana, de Beata de Robien, éd. Albin Michel, 550p., 24 €. Étonnant destin

Étonnant destin de la fille de Staline.

Étonnant destin que celui de la fille de Staline. Née en 1926, elle a 6 ans quand sa mère se suicide. Joseph Staline – qui envoie à la mort des millions de citoyens soviétiques sans sourciller – est un père attentif qui se soumet aux ordres de sa fille. Quand elle lui ordonne de mettre son manteau de fourrure, il répond « Je m’incline » et signe « Votre obéissant serviteur ». Continuer la lecture de « Sud Ouest – La malédiction de Svetlana – Étonnant destin de la fille de Staline »

RTBF La Première – Svetlana, la fille de Staline

Un jour dans l’Histoire

Nous sommes au soir du 6 mars 1967. A l’ambassade américaine de New Delhi. 

Beata de Robien est invitée de l’émission « Un jour dans l’Histoire » sur la radio RTBF La Première.    Lien vers la radio RTBF

Svetlana, la fille de Staline - Tous droits réservés ©
Svetlana, la fille de Staline – Tous droits réservés ©

Chester Bowles, l’ambassadeur, est malade, cloué au fond de son lit, quand on vient lui annoncer qu’une femme a pénétré à l’intérieur des bâtiments.

Cette étrangère d’âge moyen demande l’asile politique. Continuer la lecture de « RTBF La Première – Svetlana, la fille de Staline »

Valeurs Actuelles présente La malédiction de Svetlana

La malédiction de Svetlana, fille de Staline

Article paru dans le magazine Valeurs Actuelles du 15/09/2016 – rubrique Histoire – fille de Staline.

logo_valeurs_actuelles_20131926 – 2011

“Un cercle noir maudit entourait mon père. » Staline aura gâché sa vie. Pour en sortir, elle s’est grisée de mariages, entre la Russie et l’Amérique. Biographie brillante d’un long cauchemar.

   Nous sommes au mois de février 1956 ; Svetlana va avoir 30 ans dans quelques jours. Anastase Mikoyan l’appelle au téléphone. Il fut l’ami de son père avant d’être banni par lui et de revenir au pouvoir grâce à Nikita Khrouchtchev qui l’a nommé vice-président du Conseil des ministres. «Passe nous voir cet après midi, Svetka, lui dit il. Il faut que je te parle d’urgence. ]e t’env0ie une voiture.» L’angoisse la saisit. Quelle urgence ?
Est il arrivé un malheur ? Non, ni coup d’État, ni purge, ni nouvelle guerre. Mikoyan veut seulement lui montrer un rapport.

   «Il faut que tu lises ça», dit il. Pourquoi ? Parce que cela concerne son père. […] Continuer la lecture de « Valeurs Actuelles présente La malédiction de Svetlana »

Le Figaro Magazine recommande La Malédiction de Svetlana

LA FILLE DU TSAR ROUGE

Article paru dans le Figaro Magazine du 09/09/2016

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Article paru dans Figaro Magazine La Malédiction de Svetlana - Beata de RobienLA MALÉDICTION DE SVETLANA, de Beata de Robien, Albin Michel, 553 p., 24 €. Acheter sur Amazon.

Beata de Robien retrace le destin de la fille de Staline dans un mélange saisissant de sensibilité et de précision historique nourrie de documents déclassifiés par la CIA et le FBI.

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Interview par Frédéric Taddeï – Europe 1 Social Club

A l’occasion de la sortie de mon nouveau livre : La malédiction de Svetlana – l’histoire de la fille de Staline, Svetlana Allilouieva, j’ai été l’invitée de Frédéric Taddeï sur Europe 1 Social Club.

Pour réécouter l’interview de Beata de Robien par Frédéric Taddeï sur Europe 1 diffusée le 1er Septembre 2016 : lien vers le site d’Europe 1

Point de vue recommande La Malédiction de Svetlana – l’histoire de la fille de Staline

La fille du diable

Le magazine Point de Vue recommande :
La malédiction de Svetlana – l’histoire de la fille de Staline.

Article de Vincent Meylan « Quelles plumes – spécial histoire » paru dans le 31 Aout 2016.

Beata de Robien raconte la vie tragique mais extraordinaire de la fille d’un dictateur.

Lien vers l’article. (Recommande)

Elle est morte il y a quelques années, à l’âge de 85 ans, aux États-Unis, où elle avait finalement trouvé refuge. Pour l’état civil, elle se nommait Svetlana Allilouïeva. Elle était née le 28 février 1926, à Moscou, en pleine période stalinienne. Elle eut pourtant une enfance choyée, heureuse. Elle joua sur les genoux de Béria, le terrifiant chef de la police soviétique. Et un des clichés les plus célèbres de l’histoire stalinienne la représente dans les bras de son papa.

Le papa en question se nomme Staline, l’un des dictateurs les plus sanglants de toute l’histoire de l’humanité. Continuer la lecture de « Point de vue recommande La Malédiction de Svetlana – l’histoire de la fille de Staline »

L’histoire de la fille de Staline – Biographie de Svetlana Allilouïeva

Aujourd’hui 01 Septembre sort en librairie mon nouveau livre :
La Malédiction de Svetlana – L’histoire de la fille de Staline par Beata de Robien, edité chez Albin Michel. Biographie de Svetlana Allilouïeva.

Couverture livre La Malédiction de Svetlana Allilouïeva« Mon père a tué tant de personnes, y compris mes propres oncles et tantes. Je ne lui pardonnerai jamais. Il a brisé ma vie ! Partout où j’irai, je serai toujours sa prisonnière politique. » – Svetlana Allilouieva

Svetlana Allilouieva, fille de Staline (1926-2011), connut un destin aussi tourmenté que tragique. Exaltée, instable, souvent généreuse, parfois héroïque, mais à jamais torturée par son passé, elle porta toute sa vie la culpabilité d’être la fille d’un homme responsable de la mort de millions de personnes.

De ses premiers pas dans les couloirs du Kremlin jusqu’aux années de guerre, en passant par sa fuite en Occident et sa triste vieillesse aux États-Unis, c’est une autre lecture de la Russie communiste qui se déploie sous nos yeux.

Beata de Robien restitue avec sensibilité le destin d’une femme brisée dont la vie ne fut qu’une perpétuelle errance, mais qui tentera de se

reconstruire avec l’énergie du désespoir et une candeur optimiste, jusqu’à son dernier souffle. Une biographie passionnante, fondée sur de nombreux témoignages et correspondances inédites, d’archives conservées en Pologne et en Russie, mais aussi de documents récemment déclassifiés par le FBI et la CIA.

Eleanor Roosevelt, une femme influente sous influence

Icône des féministes et de la gauche progressiste, l’épouse du président Roosevelt fut aussi une militante imprudente.
Article de Beata de Robien, publié dans La Nouvelle Revue d'Histoire.

Auteur de la biographie Les Passions d'une présidente : Eleanor Roosevelt, Perrin, 2000.

Eleanor Roosevelt ne voulait pas être une « Première Dame » des États-Unis potiche, soucieuse de toilettes et de réceptions, s’intéressant à quelques bonnes œuvres en vue de soigner son image. Au contraire, cette militante des Droits de l’Homme fut la femme de président la plus active qu’ait connue l’Amérique. Sa vie durant, elle mêlera la charité la plus sincère à l’égoïsme de son appétit de pouvoir.

Humaine à l’excès dans ses faiblesses comme dans ses forces, Eleanor Roosevelt ne laisse pas indifférent.

Quand les choix sentimentaux de nos dirigeants sont si particuliers qu’ils influencent les options politiques, la petite histoire rejoint la grande. Jusqu’à sa mort, en novembre 1962, Eleanor Roosevelt fut la femme la plus admirée du peuple américain. Plus de cinquante ans après, elle reste encore une idole, un exemple, une source d’inspiration pour la gauche. Et pour les féministes, un modèle dans leur lutte pour les droits de la femme.

Oubli volontaire ou pas, ses turpitudes et le rôle délétère qui fut parfois le sien sont gommés ou minimisés. L’accès aux documents du FBI et l’ouverture des archives soviétiques auraient pourtant pu remettre en cause la légende qui l’entoure, mais les mythes ont la vie dure.

Eleanor Roosevelt en compagnie de Mary McLeod Bethune, une militante de la cause des Noirs, promue par le président.

Alors que la plupart de ses biographes ne peuvent pas s’empêcher d’idéaliser la femme, de prendre à la lettre son journal, pourtant mille fois remanié par son auteur et suspect de complaisance, laissons la sentimentalité de côté pour nous en tenir aux documents disponibles. Les archives du FBI, celles de Moscou et une correspondance de quelque cinq mille lettres permettent de brosser un portrait bien plus authentique, et confirment que les Mémoires cachent souvent plus qu’ils ne dévoilent. Si ses actions en faveur des femmes, des Noirs, des défavorisés – ce que la légende a retenu – sont indéniables, son influence sur la politique étrangère des États-Unis a été désastreuse. Continuer la lecture de « Eleanor Roosevelt, une femme influente sous influence »

Récompensée par l’Académie française !

Académie françaiseL’Académie française a décernée à Beata de Robien au titre de ses Grands Prix de l’année 2013 le prix Hervé Deluen

Le prix Hervé Deluen est un des grand prix de l’Académie française, créé en 2007. Il est destiné à récompenser « toute personne ou toute institution qui contribue efficacement à la défense et à la promotion du français comme langue internationale ». Continuer la lecture de « Récompensée par l’Académie française ! »