Le Parisien, dans l’édition du 23 Octobre 2016 recommande La Malédiciton de Svetlana, « La fille de l’homme de fer ».
Staline n’a pas été que le « petit père des peuples ». Le tyran soviétique, qui envoya à la mort des millions de personnes, était aussi… un père tout court. Notamment celui de Svetlana (1926-2011), sa fille préférée. Au moins, ses petits camarades de classe ne devaient pas beaucoup l’embêter. Car pour le reste, la petite Staline connut un destin aussi tourmenté que tragique. Ultime pied de nez à son paternel, elle se réfugia dans les années 1960 aux Etats-Unis, où elle mourut en 2011 après une vie d’errance.
« La Malédiction de Svetlana », de Beata de Robien, Ed. Albin Michel, 554 pages, 24 €.
Le Parisien (lien vers l’article)